jeudi 3 juillet 2008
Îlot
Petite île.
Groupe de maisons circonscrit par des rues.
Se dit de ce qui est isolé au sein de quelque chose de plus vaste.
L’îlot urbain traditionnel peut aussi se définir comme un ensemble de parcelles délimité par des rues. L’îlot haussmannien, formé par un découpage de rues qui se croisent en étoile, est presque toujours triangulaire et tranche avec l’îlot classique parisien, plutôt rectangulaire. De plus, ses immeubles s’édifient totalement à l’alignement des rues, sans aucune cour en façade, par exemple. Ce qui constitue une linéarité de façades.
Parcelle
Petite partie.
Portion de terrain.
Terrain appartenant à un propriétaire. Les limites des propriétés sont dessinées sur le cadastre. Le système des parcelles découpe la ville et ses îlots. C’est la plus petite division de propriété du sol.
Tissu urbain
Formule qui désigne la superposition de plusieurs éléments : le tracé des voies, le découpage des propriétés (parcelles) et les constructions. C’est aussi une métaphore organique qui fait référence à la complexité des structures urbaines.
Petite île.
Groupe de maisons circonscrit par des rues.
Se dit de ce qui est isolé au sein de quelque chose de plus vaste.
L’îlot urbain traditionnel peut aussi se définir comme un ensemble de parcelles délimité par des rues. L’îlot haussmannien, formé par un découpage de rues qui se croisent en étoile, est presque toujours triangulaire et tranche avec l’îlot classique parisien, plutôt rectangulaire. De plus, ses immeubles s’édifient totalement à l’alignement des rues, sans aucune cour en façade, par exemple. Ce qui constitue une linéarité de façades.
Parcelle
Petite partie.
Portion de terrain.
Terrain appartenant à un propriétaire. Les limites des propriétés sont dessinées sur le cadastre. Le système des parcelles découpe la ville et ses îlots. C’est la plus petite division de propriété du sol.
Tissu urbain
Formule qui désigne la superposition de plusieurs éléments : le tracé des voies, le découpage des propriétés (parcelles) et les constructions. C’est aussi une métaphore organique qui fait référence à la complexité des structures urbaines.
Les Siedlungen du Nouveau Francfort (1925-1930)
Dès 1925, le nouveau plan d'organisation de Francfort est réalisé, ainsi que celui de la vallée de la Nidda. Pour l'organisation de Francfort, E.May va travaillé sur un plan dit "éclaté", un plan discontinu, plan à l'origine du zoning, avec des coupures végétales entre villes anciennes et nouvelles. Aux centres vont se trouver les lieux d'équipement, de loisirs et de culture. De nombreuses zones végétalisés sont créées, aux abors desquelles de nombreux centres sportifs vont être construits. Une différence entre réseau de voirie er réseau lent va être mise en place. La grande urbanisation va elle être propulsée à l'extérieur de la ville ancienne. Ainsi de nombeux villages satellites vont être réalisés aux abords de la rivière Nidda, dont sa vallée va devenir une grande zone de Siedlungen, dont les principales sont les Siedlungen Römerstadt, Praunheim, Westhausen...
Les plans d'organisation de E.May vont permettre la réalisation de 8000 logements en 3 ans, avec une prévison allant jusqu'à 26000 logement, mais qui sera freinée brusquement par la future crise de 1930.
Les Siedlungen ne sont pas pensées comme des villages autonomes, ce sont des quartiers d'habitation dans une grande ville industrielle. Un réseau de transport public les relie aux centres et aux zones de travail. E.May veut préserver l'unité urbaine, en s'attachant à l'histoire de Francfort. Les zones végétalisés constituées de terrains agricoles,de maraîchers, de forêts ou de parcs publics sont un moyen de structurer l'agglomération et son développement.
Siedlungen Praunheim
.
Evolution de la morphologie des Siedlungen.
Les habitations petit à petit s'ouvre sur la ville, des traversées publiques s'insèrent le long des barres côté nord. Les logements s'affinent, des jardins privés et publiques viennent entouré les barres. La notion d'espace semi-publique est désormais une reflexion nouvelle en urbanisme.
les coupes montrent bien, cette nouvelle morphologie urbaine, ou les logements sont désormais traversants et s'ouvrent sur des espaces à la fois des espaces privés, ainsi que sur des espaces publiques. La rue, la pollution, le bruit s'éloigne des habitations pour laisser place aux piétons.
Dès 1925, le nouveau plan d'organisation de Francfort est réalisé, ainsi que celui de la vallée de la Nidda. Pour l'organisation de Francfort, E.May va travaillé sur un plan dit "éclaté", un plan discontinu, plan à l'origine du zoning, avec des coupures végétales entre villes anciennes et nouvelles. Aux centres vont se trouver les lieux d'équipement, de loisirs et de culture. De nombreuses zones végétalisés sont créées, aux abors desquelles de nombreux centres sportifs vont être construits. Une différence entre réseau de voirie er réseau lent va être mise en place. La grande urbanisation va elle être propulsée à l'extérieur de la ville ancienne. Ainsi de nombeux villages satellites vont être réalisés aux abords de la rivière Nidda, dont sa vallée va devenir une grande zone de Siedlungen, dont les principales sont les Siedlungen Römerstadt, Praunheim, Westhausen...
Les plans d'organisation de E.May vont permettre la réalisation de 8000 logements en 3 ans, avec une prévison allant jusqu'à 26000 logement, mais qui sera freinée brusquement par la future crise de 1930.
Les Siedlungen ne sont pas pensées comme des villages autonomes, ce sont des quartiers d'habitation dans une grande ville industrielle. Un réseau de transport public les relie aux centres et aux zones de travail. E.May veut préserver l'unité urbaine, en s'attachant à l'histoire de Francfort. Les zones végétalisés constituées de terrains agricoles,de maraîchers, de forêts ou de parcs publics sont un moyen de structurer l'agglomération et son développement.
Siedlungen Praunheim
.Evolution de la morphologie des Siedlungen.
Les habitations petit à petit s'ouvre sur la ville, des traversées publiques s'insèrent le long des barres côté nord. Les logements s'affinent, des jardins privés et publiques viennent entouré les barres. La notion d'espace semi-publique est désormais une reflexion nouvelle en urbanisme.
les coupes montrent bien, cette nouvelle morphologie urbaine, ou les logements sont désormais traversants et s'ouvrent sur des espaces à la fois des espaces privés, ainsi que sur des espaces publiques. La rue, la pollution, le bruit s'éloigne des habitations pour laisser place aux piétons.
Les cités-jardins de Londres (1905-1925)
Les règles instaurées par Henrietta Barnett :
1- Que les personnes de toutes les classes de la société et de toutes catégories de revenus puissent y habiter.
2- Que les cottages et les maisons y soient limitées à une moyenne de 20 logements à l'hectare.
3- Que les rues aient 13,2 m de large et que les façades des maisons soient au moins à 16,5 m les unes des autres, avec des jardins dans l'espace entre.
4- Que les divisions parcellaires ne soient pas des murs.
5- Que toutes les ures soient bordées d'arbres.
6- Que les bois et les jardins soient gratuits et accessible à tous.
7- Que les maisons soient conçues de façon à ce qu'aucune ne gâche la vue de l'autre ni même sa beauté.
8- Que de tous les endroits du faubourg on puisse avoir des panoramas ou des apreçus sur la campagne environnante.
Les "estates" du Londo City Council.
La structure des cités jardins se veut globale, un centre dense et des lieux de résidence diversifiés, la hiérarchie de l'espace, la notion de limite.
Variations typologiques sur le thème du close.
Le close est un groupement de maisons autour d'une impasse ou d'une placette en cul de sac.
Les règles instaurées par Henrietta Barnett :
1- Que les personnes de toutes les classes de la société et de toutes catégories de revenus puissent y habiter.
2- Que les cottages et les maisons y soient limitées à une moyenne de 20 logements à l'hectare.
3- Que les rues aient 13,2 m de large et que les façades des maisons soient au moins à 16,5 m les unes des autres, avec des jardins dans l'espace entre.
4- Que les divisions parcellaires ne soient pas des murs.
5- Que toutes les ures soient bordées d'arbres.
6- Que les bois et les jardins soient gratuits et accessible à tous.
7- Que les maisons soient conçues de façon à ce qu'aucune ne gâche la vue de l'autre ni même sa beauté.
8- Que de tous les endroits du faubourg on puisse avoir des panoramas ou des apreçus sur la campagne environnante.
Les "estates" du Londo City Council.La structure des cités jardins se veut globale, un centre dense et des lieux de résidence diversifiés, la hiérarchie de l'espace, la notion de limite.
Variations typologiques sur le thème du close.Le close est un groupement de maisons autour d'une impasse ou d'une placette en cul de sac.
L'îlot Haussmannien, Paris (1853-1882) :
L’îlot haussmannien, formé par un découpage de rues qui se croisent en étoile, est presque toujours triangulaire et tranche avec l’îlot classique parisien, plutôt rectangulaire. De plus, ses immeubles s’édifient totalement à l’alignement des rues, sans aucune cour en façade. Ce qui constitue une linéarité de façades.
1- Chaque parcelle est racée rigoureusement à la perpendiculaire de la rue.
2- Chaque parcelle a une proportion moyene qui exclut les parcelles en profondeur comme les parcelles étirées en façade le long de la voie
l'îlot, dans son ensemble, est divisé en une bordure et un intérieur. La bordure, dense, est liée directement à la rue, comme prise comme le lieu des échanges et comme l'espace de présentation régi par des codes. L'intérieur de l'îlot est au contraire une zone éloignée de la rue, coupée d'elle, qui a le caractère d'un lieu non vu, voire caché; il n'a plus les fonctions de représentation globale; il est offert à l'appropriation.
mardi 1 juillet 2008
A travers nos différentes " ballades" dans Madrid, on a pu apercevoir des problèmes de conception dans les logements,montrant que les contraintes liées au climat de Madrid n'ont pas été prises en compte dans la réalisation de nombreuses habitations.
- Les climatisations présentent en nombres viennent entièrement dénaturer les façades des logements.
- Les balcons des logements ont été pour la plupart fermés.
Les habitants ont ainsi créer une pièce tampon entre l'extérieur et l'intérieur, afin de se protéger de la chaleur.
Il existe de nombreuses solutions pour offrir aux habitants un certain confort de vie dans des villes comme Madrid: contrôle de la chaleur, création de zones ombragée, apport de fraîcheur et d'air frais...
A ces solutions existent des réponses architecturales:
- double peau ( brise soleil, moucharabieh...)
- retrait de façade
- façade épaisse
- utilisation de matériaux adéquates comme la pierre
- serres (jardins d'hiver)
- puits canadiens...etc....
A ces solutions existent des réponses architecturales:
- double peau ( brise soleil, moucharabieh...)
- retrait de façade
- façade épaisse
- utilisation de matériaux adéquates comme la pierre
- serres (jardins d'hiver)
- puits canadiens...etc....
Suite à notre voyage en terre madrilène, la question du logement nous est parus comme intéressante de par tout les questionnements qui entoure ce sujet.
Un logement à Madrid, pose bien sur la question comme dans tout projet de logement, des espaces privés, publics, communs. De la nature des sols : minérale ou végétale. De l'ensoleillement, de l'agencement des habitations... etc ...
Proposer des logements agréables à vivre à Madrid oblige à se questionner davantage.
La question de la fraicheur dans les espaces privés et publiques est essentielle. Ainsi réfléchir sur l'ensoleillement en hiver et sur les zones d'ombres en été est primordiale.
Les fortes chaleurs et la sécheresse oblige à penser l'aménagement des différents espaces en conséquence, la flore proposer dans le projet doit etre réfléchit en conséquence.
Nombreux questionnements que nous avons tentés de résoudre dans notre travail.
Cette réflexion s'appuie sur plusieurs recherches :
Un logement à Madrid, pose bien sur la question comme dans tout projet de logement, des espaces privés, publics, communs. De la nature des sols : minérale ou végétale. De l'ensoleillement, de l'agencement des habitations... etc ...
La ville de Madrid possède comme beaucoup de villes d'Espagne un climat méditerranéen, mais avec une influence continentale. On retrouve donc à Madrid des hivers frais et des étés très chauds avec en juillet et août des températures dépassant presque tout les jours les 30°C.
La température moyenne à Madrid est de 14,4°C, avec une température maximale enregistrée à 40°C et une température minimale à -10°C. Des excès peuvent se produire.
La ville de Madrid est sèche. Comme une grande partie de l'Espagne elle ne reçoit que peu de précipitations, entre 400 mm et 500 mm par an seulement. On compte 49 jours de pluie par an ce qui rend les sécheresses fréquentes. Le mois le plus pluvieux est octobre avec 6 jours de pluie. En juillet et août on compte 2 jours de pluie.
Les températures moyennes sont:
| janvier | février | mars | avril | mai | juin | juillet | aout | septembre | octobre | novembre | décembre | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| minimales (°C) | 1 | 1 | 4 | 6 | 10 | 14 | 17 | 16 | 14 | 9 | 5 | 2 |
| maximales (°C) | 9 | 12 | 16 | 19 | 23 | 28 | 33 | 31 | 28 | 20 | 14 | 10 |
Proposer des logements agréables à vivre à Madrid oblige à se questionner davantage.
La question de la fraicheur dans les espaces privés et publiques est essentielle. Ainsi réfléchir sur l'ensoleillement en hiver et sur les zones d'ombres en été est primordiale.
Les fortes chaleurs et la sécheresse oblige à penser l'aménagement des différents espaces en conséquence, la flore proposer dans le projet doit etre réfléchit en conséquence.
Nombreux questionnements que nous avons tentés de résoudre dans notre travail.
Cette réflexion s'appuie sur plusieurs recherches :
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